Il est jeune , bourré de talent et nous propose son troisième album et vous ne connaissez pas encore Jake Bugg ?
L’histoire récente de la musique qui nous affole adore ce genre d’artiste surgi de nulle part et qui, sans s’éloigner des bases fondatrices et des tablettes de la loi telles que définies par Chuck Berry et Elvis Presley, réussit le tour de force de réinventer et nous proposer le Futur du Rock, pas moins.
Dans une autre vie il aurait pu naitre de l’autre côté de l’Atlantique dans le New Jersey au hasard et, tout en nous racontant le quotidien de monsieur tout le monde, nous faire rêver de la terre promise.
Il aurait tout aussi bien naitre du coté de Nuluth, Minnesota et, avec une simple guitare acoustique, composer des chansons qui changeront définitivement notre façon de vivre en nous montrant que les temps changent !
Seulement voilà il est né il y a vingt quatre ans dans cette chère vieille Angleterre post Margaret Thatcher et, s’il a beaucoup écouté ses maitres dont le Boss et le Zim évoqués ci dessus, on ne peut le résumer à cet héritage.
De ces maitres, il a ce don rare, celui de compositeur- né, trouvant le mot qui sonnera juste et la mélodie qui dés la première écoute s’installera dans les limbes de votre cerveau et vous donnera l’impression d’avoir déjà entendu cette chanson quelque part.
Et pour achever le portrait quasi idyllique de notre – jeune – homme, voici ce qu’il déclarait sur les raisons qui l’ont poussé à écrire et composer :
« Les chansons que j’écoutais sauvaient mes journées. Je me suis dit que si je composais des chansons moi-même, elles pourraient sauver les journées d’autres gens. Ça semblait être la meilleure chose que je pouvais faire de ma vie, et la seule car je ne sais rien faire d’autre. Depuis, je vis mon rêve, sans aucun regret. »